Dans le texte, l’auteur exprime une fascination persistante pour les découvertes faites dans des œuvres d’art historiques par des technologies modernes, comme les rayons X révélant des détails cachés sous la peinture d’un tableau, ou de nouvelles chambres secrètes dans les pyramides de Gizeh grâce à l’imagerie du sol. Cette curiosité pour l’inconnu et le passé mystérieux de notre civilisation est également ce qui l’attire vers le jeu vidéo « Assassin’s Creed Origins », qui se déroule dans l’Égypte ancienne, un lieu et une époque empreints de mystère et d’histoire, où les protagonistes, Bayek et Aya, explorent des monuments anciens et dévoilent des intrigues politiques autour de figures historiques comme Cléopâtre.
Ces expériences, virtuelles et réelles, résonnent avec le thème du temps et de la mémoire.
Pour l’auteur, visiter personnellement la Grande Pyramide et jouer à retracer ces moments dans « Assassin’s Creed Origins » renforce le sentiment de continuité historique et humaine, malgré les siècles qui séparent ces événements.
Les pyramides, un symbole de fascination universelle, représentent non seulement l’histoire ancienne mais servent également de lien avec le passé, confrontant l’humanité aux mystères non résolus et à la grandeur de ses ancêtres, thèmes chers à l’auteur aussi bien dans la vie réelle que dans le domaine virtuel du jeu vidéo.