Les vastes mondes de Super Mario 64, l’originalité de Banjo Kazooie, et l’humour adulte de Conker’s Bad Fur Day ont marqué mon expérience ludique.
C’est dans cet esprit que j’ai découvert Ruffy et The Riverside, un jeu qui capture l’essence de cette époque.
Avec ses mondes vivants, un héros jovial accompagné d’une abeille, et un gameplay rappelant les classiques de la décennie, le jeu propose également une bande sonore inspirée par Crash Bandicoot et Parappa le rappeur, enrichissant l’expérience avec une touche moderne.Dans Ruffy et The Riverside, le jeu transcende la simple nostalgie par l’ d’un mécanisme innovant d’échange de textures utilisé pour résoudre des énigmes.
Ce système permet à Ruffy de copier une texture et de la réappliquer sur différents éléments du décor pour progresser, comme transformer de l’eau en vignes ou de la pierre en bois.
Malgré les limites de cette capacité, qui empêche son utilisation excessive en incorporant un délai, le potentiel pour des puzzles complexes est palpable.
La démo laisse entrevoir des puzzles variés, allant de casse-têtes simples à des énigmes plus exigeantes, promettant une aventure inventive et réfléchie, qui, si bien équilibrée, pourrait bien renouer avec l’âge d’or des jeux vidéo des années 90.