Körber évoque la diversité des expériences de conduite, soulignant que certaines situations, comme la conduite en ville, peuvent être peu engageantes. Il prévoit un développement parallèle de l’assistance à la conduite (ADAS) et de la conduite autonome, tout en soulignant l’importance croissante du plaisir et de la dynamique de conduite pour ceux qui choisissent de conduire activement.
Il cite l’exemple de la popularité croissante des balades à moto en Chine comme un signe que l’utilisation des véhicules devient aussi récréative.
Körber questionne l’idée de réduire la voiture à un simple robotaxi, arguant que les consommateurs investissent dans des véhicules émotionnels et méritent de les apprécier pleinement.
Il affirme que la passion pour la conduite ne disparaîtra pas, mais plutôt qu’elle se renforce, un aspect essentiel pour BMW, qui vise à séduire un public spécifique tout en restant fidèle à son identité.