Des initiatives telles que la construction d’un campus d’IA à Abu Dhabi et le lancement de la société saoudienne d’IA, Humain, illustrent cette tendance.
Ces projets ne se limitent pas à des investissements ponctuels, mais révèlent des partenariats strangés entre les entreprises du Golfe et des États-Unis, renforçant ainsi une coopération qui profite aux deux parties dans un contexte de concurrence technologique mondiale.
Parallèlement, la région voit émerger un écosystème dynamique de startups, soutenu par des investissements croissants et un environnement réglementaire favorable.
Les gouvernements locaux adoptent des politiques visant à diversifier l’économie au-delà du pétrole, avec un accent sur la technologie, l’éducation et l’innovation.
L’augmentation de la demande en services cloud et en centres de données, alimentée par des projets de ville intelligente et l’essor des fintechs, contribue également à cette transformation.
Cependant, des préoccupations persistent concernant la maîtrise des technologies et la gestion des données, poussant certains pays à rechercher une plus grande indépendance numérique.
Si cette dynamique se poursuit, le Moyen-Orient pourrait rapidement passer de simple consommateur de technologie à acteur clé dans son développement.
