Pour avancer dans cette quête, les États-Unis développent de nouveaux télescopes et sondes spatiales.
Cependant, identifier et interpréter les biosignatures — des indications de vie — demeure complexe.
Des chercheurs, dont un astrophysicien et astrobiologiste, élaborent une méthode pour cibler les environnements les plus prometteurs pour la vie, s’appuyant sur des modèles simulant la survie d’organismes dans divers milieux, tout en tenant compte des limites de la vie sur Terre.
Dans le cadre du projet « Alien Earths », une approche innovante appelée cadre de l’habitabilité quantitative a été mise au point.
Celle-ci se concentre sur des conditions spécifiques d’habitabilité plutôt que sur des notions vagues.
Cette méthode, qui intègre des modèles d’organismes et d’habitats, permet d’évaluer la probabilité que des conditions environnementales supportent une forme de vie donnée.
En développant une base de données sur des organismes extrêmes et en intégrant des modèles hypothétiques de vie extraterrestre, cette recherche pourrait éclairer la quête de signatures de vie, autant dans notre système solaire qu’au-delà.Boostez votre boutique WooCommerce avec l'IA !
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