Le président kazakh, Kassym-Jomart Tokayev, a souligné l’augmentation de la polarisation entre les nations, tandis que d’autres figures, comme le président du Rwanda, Paul Kagame, ont exhorté à une approche collective pour aborder les problématiques globales.
Cet événement a permis d’aborder divers sujets, notamment les réformes nécessaires au sein des Nations Unies, la sécurité alimentaire, le changement climatique, ainsi que la régulation de l’intelligence artificielle, mettant en avant l’importance d’une coopération internationale pour surmonter les défis actuels.
Sur le plan économique, plusieurs accords ont été conclus entre la France, l’Italie et le Kazakhstan, axés sur des projets liés à l’hydrogène et à l’énergie verte, tout en examinant les implications négatives du commerce.
De plus, le Kazakhstan a été mis en avant comme un corridor de transit essentiel entre l’Asie et l’Europe, soutenu par des investissements significatifs dans son infrastructure.
Les discussions ont également porté sur l’énergie renouvelable et la nécessité de financements pour lutter contre le changement climatique, soulignant ainsi le potentiel économique de la région, notamment à travers l’exploitation des terres rares et l’énergie éolienne.
Le Forum a donc créé un espace de dialogue pour envisager un avenir plus durable et stable.
Source: IA Tech news