Ce texte explore plusieurs films de science-fiction souvent sous-estimés, en commençant par Sky Captain and the World of Tomorrow (2004), qui, avec ses robots géants et son esthétique rétro-futuriste, offre un divertissement familial, bien qu’il soit trop stylisé pour son époque.
The Butterfly Effect (2004) est présenté comme un film d’une profonde complexité, explorant les conséquences du voyage dans le temps à travers la vie d’un protagoniste qui tente de changer son passé.
Les films suivants, comme L’île (2005), malgré la réputation de Michael Bay, propose un récit structuré sur la quête d’identité dans un monde dystopique.V pour Vendetta (2006) est salué pour son message subversif et son adaptation fidèle d’une bande dessinée, tandis que La fontaine (2006), bien que difficile à apprécier, invite à des interprétations variées sur l’immortalité et l’amour.
Savoir (2009) et Enfants des hommes (2006) abordent des thèmes de destin et d’espoir dans un avenir sombre, chacun avec des résonances sociales pertinentes.
Ces films, bien qu’ayant rencontré des critiques mitigées ou un oubli, méritent d’être revus pour leur richesse narrative et leurs réflexions sur la condition humaine.