Ce résultat impressionnant dépasse largement le taux de précision de 20 % observé chez des médecins expérimentés.
Le système a été évalué à travers des études de cas du New England Journal of Medicine, reposant sur un benchmark constitué de 304 cas concrets.
Cela permet de simuler des situations dans lesquelles l’IA ou un médecin humain interroge des patients et réalise des tests.
Grâce à l’intégration de différents modèles, l’IA optimise le processus de diagnostic, révélant qu’elle peut faire preuve d’une plus grande efficacité tout en étant économiquement avantageuse par rapport à des praticiens humains.
Cependant, Microsoft demeure conscient des limitations de ses recherches, notant qu’elles se focalisent sur des cas peu fréquents et ne reflètent pas toujours les conditions réelles où les médecins utilisent souvent des ressources complémentaires telles que des ouvrages spécialisés ou des recherches en ligne.
En parallèle, l’entreprise poursuit le développement d’autres solutions, comme Rad-Dino pour la radiologie et Dragon Copilot, un assistant vocal destiné aux médecins.
Microsoft envisage également des tests de son IA dans de véritables environnements cliniques, tout en attendant l’approbation des autorités réglementaires pour une utilisation plus large.
L’article souligne que cette innovation a surpassé les performances de 21 médecins avec un taux précis de 85,5 % en diagnostics.
Source: IA Tech news