Ce phénomène, connu sous le nom de « métabolisme des robots », leur permet d’absorber et de reconditionner des pièces, afin d’améliorer leurs compétences semblablement à la façon dont les êtres vivants exploitent les ressources disponibles.
Grâce à une conception modulaire, ces robots peuvent former des structures complexes, comme des tétraèdres, en fonction des composants qu’ils collectent.
Les chercheurs imaginent un futur où ces machines autonomes pourraient non seulement se maintenir en état de marche, mais aussi évoluer et réagir face à des environnements variés, ce qui pourrait s’avérer particulièrement avantageux lors de crises ou d’opérations d’exploration spatiale.
Cependant, cette capacité à se réparer et à s’améliorer soulève des préoccupations éthiques quant à leur gestion dans un monde devenant de plus en plus automatisé.
Cette approche inspirée de la nature pourrait révolutionner la façon dont les robots interagissent avec leur environnement, renforçant ainsi leur autonomie.
Source: IA Tech news