Il a observé que de nombreux utilisateurs, notamment parmi les jeunes, recourent à ce chatbot pour aborder des thématiques personnelles, semblables à une démarche thérapeutique.
Cependant, il est important de noter que ces interactions avec l’intelligence artificielle ne sont pas couvertes par les mêmes protections légales que celles entourant les discussions avec des professionnels qualifiés, tels que des médecins ou des avocats.
En cas de contentieux, OpenAI pourrait être amené à révéler des données sensibles, ce qui soulève des préoccupations sérieuses quant à la confidentialité.
Altman a exprimé son point de vue sur la nécessité d’établir des protections similaires pour les conversations avec les intelligences artificielles et a appelé à une intervention rapide des législateurs sur cette question cruciale, sachant que les lois actuelles ne répondent pas encore à cette problématique.
De son côté, Theo Von a fait part de ses inquiétudes concernant l’usage de l’IA, particulièrement en ce qui concerne la sécurité des données personnelles.
Parallèlement, des témoignages de personnes utilisant ChatGPT comme un outil de soutien émotionnel font surface, illustrant son rôle grandissant en tant que thérapeute virtuel.
Cela inclut l’exemple d’une influenceuse qui a trouvé du soutien en discutant de ses défis personnels avec le chatbot.
Source: IA Tech news