En six mois, il a joué 19 matchs et marqué seulement 3 buts avant de briller à Arsenal.
Les critiques de l’époque évoquent un manque d’utilisation adéquate par l’entraîneur Marcello Lippi et un « manque de respect » de la direction.
Récemment, Luciano Moggi, un dirigeant de l’époque, a offert sa perspective, affirmant que le choix de vendre Henry n’était pas une erreur.
Selon lui, le joueur, trop unidimensionnel et inadapté au collectif, ne répondait pas aux exigences tactiques du club.
Moggi considère que la carrière d’Henry, notamment son succès en Premier League, est une simple évolution et qu’il était incapable de s’intégrer à l’équipe italienne, préférant souligner l’apport de David Trezeguet, qui selon lui, aidait davantage l’équipe.
Ce règlement de comptes tardif met en lumière les tensions persistantes et illustre la dualité des récits entourant les transferts.
Ces commentaires ne changent en rien la légende d’Henry, mais révèlent les rancunes qui demeurent dans l’industrie du football, où chaque événement est souvent interprété de manière très différente selon les protagonistes.